Dans le Mademoiselle de Joncquières, diffusé ce soir sur Arte à 20h55, Cécile de France incarne Madame de La Pommeraye, une jeune veuve retirée du monde, qui succombe sous les assauts du charme et de l’esprit du libertin Marquis des Arcis. Un drame écrit et réalisé par Emmanuel Mouret, dans lequel l’actrice de 47 ans brille par sa beauté encore intacte. En décembre dernier, sur les pages deELLEla mère de Lino et Joy, née de son union avec l’acteur Guillaume Siron, a confié son secret pour rester physiquement inchangée.
« Je ne fais rien de particulier. Pas trop d’alcool, sinon je dors mal et je ne récupère pas assez. J’ai un travail où les gens m’admirent, je dois prendre soin de mon corps. Je fais du cardio et marche beaucoup en forêt. J’essaie de me déplacer, d’éviter les escalators, les ascenseurs. Je me vois toujours comme un chasseur-cueilleur, Homo sapiens a été fait pour utiliser son corps et pas seulement pour ouvrir la porte de son frigo« , a-t-il détaillé, l’activité physique occupe donc une place importante dans son quotidien.
L’humain n’est pas parfait
Cécile de France s’était déjà confiée sur son rapport à la beauté dans une précédente interview, estimant notamment que ce n’était plus « dans les normes». Une pensée qu’il a également développée dans les colonnes de Match parisien. « A partir de 45 ans, les femmes ne sont plus dans les normes malheureusement établies de la société. Je peux en parler, parce que j’ai 47 ans. On nous a fait croire qu’à l’approche de la ménopause, nous ne serons plus jamais désirables. » a-t-elle expliqué dans le magazine, avant d’ajouter : » L’être humain n’est pas parfait, même si la société veut nous imposer la perfection. »
Pour rappel, Cécile de France a été révélée au grand public pour son rôle dans auberge espagnole de Cédric Klapisch, qui lui a notamment permis de décrocher le César du meilleur espoir féminin. Trois ans plus tard, avec le même réalisateur, elle remporte un nouveau César, cette fois de la meilleure actrice dans un second rôle pour Poupées russes.
