Réservé aux abonnés
LETTRE DU CLASSIQUE. « Le Lac des cygnes », « La Belle au bois dormant », « Casse-Noisette »… Les trois ballets du compositeur russe infestent les scènes en cette fin d’année.
Par Anne-Laure Poisson Le New York City Ballet dans la version Balanchine de « Casse-Noisette ». © The New York Times-REDUX-REA / ANDREA MOHIN/NYT-REDUX-REA Publié le 12/11/2022 à 07:30 Je m’abonne pour 1€ le 1er mois
« Ça commence à ressembler beaucoup à Noël », comme le chantait Bing Crosby. Des sapins de Noël, des boules de toutes les couleurs, de la neige, des lutins magiques et, bien sûr, en arrière-plan, puisqu’on n’entend pas toujours Mariah Carey en boucle : Tchaïkovski. Les trois ballets du compositeur russe sont devenus l’incarnation musicale (classique) de Noël, au-delà des chants et de la musique sacrée. Que ce soit la valse de La Belle au bois dormant, la « Danse de la fée Dragée » de Casse-Noisette et son Celesta, ou encore la « Danse des cygnes » du Lac des cygnes, il y aura forcément une pièce du compositeur russe pour se rappeler chacun de nous des fêtes de fin d’année.
« Ce sont trois histoires qui évoquent le monde de l’enfance, et l’un des moments les plus importants…
Je souscris
Offres exclusives : -50% la première année
