Il revient avec un nouvel album, Baptisé Tirez sur les étoiles la nuit. A l’occasion de la promotion de cet ouvrage, Etienne Daho a accordé une interview à nos confrères du Journal du dimanche, dans laquelle il évoque son enfance et sa personnalité. En effet, dans ses nouvelles chansons, l’artiste se révèle sous un jour différent. « Heureusement que je suis multiple. Dès que j’ai un micro sous le nez ou une caméra pointée sur moi, j’ai tendance à être un peu en dessous de qui je suis dans la vraie vie avec mes amis »commencer par décrire.
Alors Étienne Daho se confie sur ce qui est vraiment : « Mais je peux aussi être extrême et borderline et flirter avec les limites. Je l’ai écrit dans ma chanson A Dangerous Happiness : ‘Ça va trop loin on avance un peu / Ça plonge tant pis on se lève un peu.’ Cette dualité communique très bien en moi sans aucune schizophrénie« . Au cours de cet entretien le chanteur est également revenu sur son enfance très difficile, il a grandi dans une Algérie déchirée par la guerre. « J’ai survécu à des choses, oui… J’ai grandi à Oran dans une ambiance de guerre civile, des corps à piétiner dans la rue, à cacher pour éviter les balles… Cette première expérience de la mort m’a mis en appétit pour la vie qui ne m’a jamais quitté »Il explique.
Etienne Daho : cette enfance
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