« Happy ending » pour les Windsor après les frasques de Harry

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LETTRE DE BUCKINGHAM. Malgré les vives critiques contre sa famille, l’institution royale n’est pas menacée.
De notre correspondant à Londres, Marc Roche
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CONTREcomment lui échapper ? Les mémoires du prince Harry sont en tête des ventes d’essais outre-Manche depuis leur sortie le 10 janvier. Les dures attaques du duc de Sussex contre la famille royale ont été bombardées de gros titres obscurcissant le début prometteur du règne de Charles III quatre mois seulement après la mort de sa mère, Elizabeth II. Quand il ferme L’alternative (Remplacement), dont la version française éditée par Fayard restitue parfaitement l’écriture lumineuse du stylo lecteur JR Moehringer, l’envie d’aller tâter le pouls de l’institution royale est née. Et dès que l’avenir de la dynastie Windsor est enquêté, le journaliste, écrivain et réalisateur Robert Hardman – auteur notamment de deux livres qui font référence au sujet : Elisabeth II, reine…